Pour une agriculture audacieuse, attractive et solidaire

Publié le par Philippe RENAUD

 

Face à la démagogie et au populisme, face au passéisme et à l'inaction, les agriculteurs ont nettement choisi le langage de la vérité, de l'engagement et de la responsabilité Ils ont une vision pour une agriculture audacieuse, attractive et solidaire. Ils ont choisi de dire que leur métier a un prix ! L'attachement des agriculteurs à leurs exploitations, à leurs terres démontre surtout la très forte volonté des agriculteurs à participer aux débats politiques.

LES AGRICULTEURS NE VEULENT PAS SUBIR, ILS VEULENT AGIR

Les exploitations sont surchargées de contraintes, mises aux normes, paperasses et formulaires en tout genre. Alors, bien sûr, tout cela est parfois indispensable pour identifier les produits, tracer les pratiques, rassurer le citoyen et le consommateur, justifier les soutiens publics.

LA REFORME DES COLLECTIVITES TERRITORIALES

L'enchevêtrement des compétences actuelles pénalise l'action publique locale et empêche le citoyen d'identifier clairement les responsabilités des différentes collectivités territoriales.

 

Il nuit enfin à la clarté de choix des acteurs publics et rend difficile la maîtrise de la dépense publique. La réforme des collectivités territoriales a donc pour objectif d'améliorer l'action du département et de la région en clarifiant leur champ de compétence et en développant une véritable synergie d'action.

le département sera doté en priorité de compétences qu'il exercera seul. Il pourra cependant encore exercer des compétences partagées avec d'autres niveaux de collectivités territoriales,. Enfin, une capacité d’initiative locale sera reconnue au département et à la région pour leur permettre d'intervenir en l'absence de législation, lorsque l'intérêt local le nécessite. En tout état de cause, le rôle du département et de la région en matière de solidarité territoriale vis-à-vis des communes n'est pas modifié. Le département et la région pourront continuer à contribuer au financement des opérations conduites par les communes et leurs groupements.

une capacité d’initiative locale sera reconnue à la région pour lui permettre d'intervenir en l'absence de législation, lorsque l'intérêt local le nécessite. Les régions, pour les opérations d’envergure régionale, pourront continuer à contribuer au financement des opérations conduites par les communes et leurs groupements.

 

La synergie d'action entre les départements et les régions va pouvoir se réaliser grâce à la création des conseillers territoriaux. Il s'agit d'élus siégeant tant à l'échelon du département que de la région. Ce nouvel élu, du fait de son ancrage territorial, disposera d'une vision de proximité des besoins et des attentes de ses concitoyens mais également d'une vision stratégique inhérente aux compétences de la région. Il pourra ainsi favoriser l'articulation des politiques publiques de ces deux niveaux de collectivités.

Concrètement, les conseillers territoriaux pourront adapter la répartition des compétences aux spécificités locales. Concrètement, dans un délai de six mois après chaque élection des conseillers territoriaux, le conseil régional et les conseils généraux de la région devront élaborer un schéma régional qui permettra de définir la répartition optimale des compétences entre la région et les départements (développement économique, éducation, transports, environnement, aménagement du territoire, etc.) et d’en tirer les conséquences en termes de réorganisation des interventions financières et de mutualisations des services. C’est en faisant confiance au conseiller territorial que nous obtiendrons l’organisation la plus efficace, celle qui répond aux enjeux et aux défis propres à chaque territoire.

CETTE REFORME LA MAJORITE DEPARTEMENTALE, LA GAUCHE N'EN VEUT PAS

MAUVAIS CHOIX – IMMOBILISME - FISCALITE

Les agriculteurs ont la responsabilité de remettre l'acte de production au cœur de leur métier pour assurer les débouchés alimentaires et non alimentaires, de mettre à égalité de chances l'espace rural et l'espace urbain. Ils doivent se battre au coude à coude avec tous les autres acteurs, pour faciliter l'accès de tous à des services de santé, des nouvelles technologies, des infrastructures routières, des écoles... tout ce qui permet de vivre en milieu rural et d'être heureux d'y vivre. C'est une évidence

AVEC UNE POLITIQUE D'IMMOBILISME ET DE MAUVAIS CHOIX...

AVEC UN BUDGET ROUTE ET SECURITE ROUTE EN CONSTANTE DIMINUTION DEPUIS 2004...

AVEC DES OUVERTURES DE COLLEGE DIFFEREES, ET DES FERMETURES...

AVEC UNE POLITIQUE NON VOLONTARISTE EN MATIERE D'ADSL,

AVEC UNE OPPOSITION FAROUCHE AU SECOND FRANCHISSEMENT DE LOIRE

AVEC UNE GESTION IRRESPONSABLE DES FINANCES LOCALES, UNE AUGMENTATION DE LA FISCALITE,

CETTE EGALITE DE CHANCE LA MAJORITE DEPARTEMENTALE LA GAUCHE N'EN VEUT PAS

Quel secteur économique s'interdit de progresser, d'innover, de rechercher ? Pourquoi faudrait-il museler le développement de l'agriculture ? Pourquoi empêcher les agriculteurs de mieux répondre aux besoins des hommes en matière d'alimentation, d'énergie, de santé ? Les agriculteurs doivent se battre contre cette idée qui se répand sournoisement dans l'opinion selon laquelle notre pays pourrait se passer de l'agriculture et que nous pourrions nous contenter d'importer notre alimentation. C'est plus qu'une mauvaise idée ! C'est une faute que nos concitoyens risquent de payer au prix fort !

EN PRATIQUANT UNE POLITIQUE DE SAUPOUDRAGE DES SUBVENTIONS A LA CHAMBRE D'AGRICULTURE DE LOIRE ATLANTIQUE LA MAJORITE DEPARTEMENTALE, DE GAUCHE AU CONSEIL GENERAL ENTEND AINSI MUSELER LES AGRICULTEURS DE LOIRE-ATLANTIQUE, ELLE LES PRIVE DE MOYENS FACE AUX ENJEUX DE DEMAIN

CETTE AMBITION, CETTE VOLONTE DE PROGRES, D'INNOVATION, DE RECHERCHE, POUR L'AGRICULTURE DE LOIRE-ATLANTIQUE LA MAJORITE DEPARTEMENTALE, LA GAUCHE N'EN VEUT PAS. 

Publié dans Tribune

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